Soyons honnêtes : un parquet de cuisine mal choisi et mal posé peut rapidement devenir un cauchemar. Allez savoir pourquoi, cette pièce est de loin la plus exigeante pour un revêtement de sol. Entre les éclaboussures (eau, graisses…), les chocs et les salissures, le moindre impair peut vite tourner au désastre. Mais, franchement, entre nous, c’est aussi celle où un parquet fait le plus d’effet.
Cette idée reçue comme quoi le parquet n’a pas sa place dans une cuisine est sans doute l’une des plus tenaces qui soient. Et pour cause : il y a encore quelques années, elle était en grande partie vraie.\n\nMais grâce aux évolutions récentes sur les techniques de pose, les finitions et les traitements, il est aujourd’hui possible d’obtenir un résultat aussi résistant qu’esthétique. À condition de faire les bons choix. \n\nC’est justement ce qu’on vous expliquons dans cet article ultra-complet :
- Les types de bois à privilégier/éviter
- Les finitions adaptées pour une résistance optimale
- La méthode de pose qui change tout
- Comment l’entretenir facilement
- Les pièges à éviter absolument.
On vous garantit que vous allez redécouvrir votre cuisine.
Le parquet dans la cuisine : oser le bois dans la pièce la plus exigeante ? 🪵
D’emblée, qui aurait cru que l’on puisse conjuguer parquet et cuisine sans frémir ? Et pourtant, il existe une poignée d’irréductibles qui ont sauté le pas... et ils n’y ont pas laissé leur plan de travail ! Allez savoir pourquoi, mais l’image du parquet en cuisine fait lever plus d’un sourcil sceptique — alors qu’en réalité, c’est loin d’être un choix hasardeux.
L'attrait indéniable du parquet en cuisine : charme et chaleur
Le bois, c’est un peu comme ces vieux sentiers bretons bordés de fougères : authentique, chaleureux, increvable si on le respecte. Installer un parquet dans sa cuisine, c’est inviter la nature à s’immiscer entre les casseroles. Vous gagnez en convivialité tout ce que vous perdez en froideur. Il y a quelque chose de profondément vivant dans un sol boisé ; chaque nœud raconte une histoire, un peu comme une vieille longère battue par les embruns du Finistère. Entre nous, rien ne rivalise avec cette sensation pieds nus sur un plancher bien vivant.
« Le parquet en cuisine, c'est une folie réservée aux plus audacieux » : FAUX ! C’est une affaire de bon sens et de préparation intelligente.
Les appréhensions légitimes : humidité, taches, chocs... un vrai défi ?
Soyons honnêtes : si le carrelage règne souvent en maître dans les cuisines, ce n’est pas pour rien. La cuisine est le théâtre de toutes les agressions — éclaboussures d’huile (oui même le beurre salé breton !), vapeur qui s’infiltre partout, verres qui tombent... Le bois naturel a une fâcheuse tendance à absorber l’humidité et les graisses s’il n’est pas protégé efficacement. On voit trop souvent des parquets gondolés ou tachés — signe flagrant d’un mauvais choix ou entretien bâclé.
Notre réponse : Oui, le parquet est possible en cuisine, mais avec des conditions !
Franchement, entre nous… on ne va pas se mentir : poser un parquet brut non traité pour y éplucher ses patates, c’est du suicide. Mais grâce aux avancées modernes (et au retour à certains savoir-faire ancestraux), le parquet adapté existe bel et bien pour la cuisine. Il suffit de sélectionner une essence robuste (chêne local ou teck venu d’ailleurs), d’opter pour la bonne finition (huilée ou vitrifiée) et de privilégier une pose collée pour garantir l’étanchéité.
On peut même s’appuyer sur des normes sérieuses — la fameuse NF EN 13-756 pour le bois ou encore les classements UPEC pour juger la résistance d’un revêtement à l’usage intensif.
« La cuisine rend le parquet impossible à long terme » ? Une pure légende urbaine : bien conseillé et bien entretenu, il traverse les années aussi fidèlement qu’une épaisse lande sous la bruine bretonne !

Choisir le bon compagnon : Les essences de bois idéales pour votre cuisine 🌳
À force d’écumer les chantiers — et pas que ceux qui sentent l’iode ! — il faut bien admettre une chose : toutes les essences ne se valent pas, loin de là. Si vous pensez qu’un parquet en pin va survivre à la vie trépidante d’une cuisine sans finir cabossé comme un vieux casier à homard, croyez-moi… c’est non. Il vous faut du solide, du dur sous la dent, bref des bois qui tiennent la marée. Voilà ce qu’en dit l’expérience ET la science du bois :
Les stars de la résistance : chêne, frêne, robinier (faux acacia) et leurs atouts
Parmi les essences européennes, le Chêne trône tel un Menhir sur le Ploumanac’h : dense (densité autour de 0,75), nerveux et remarquablement stable face à l’humidité — son indice Janka tutoie les 6000 N (Newton), autant dire qu’il encaisse coups, chocs et petits accidents quotidiens. Il offre aussi une palette de nuances étonnante : blanchi, miel, fauve ou même gris vieilli… Le chêne supporte toutes les fantaisies de finition et valorise chaque veinage.
Le Frêne, souvent boudé allez savoir pourquoi, est lui aussi un excellent choix. Sa dureté rivalise avec le chêne (dureté Janka entre 5900 et 6500 N), mais il s’offre un grain plus rectiligne et lumineux. Parfait pour illuminer une pièce nordique ou apporter du caractère dans une maison en rénovation.
Le Robinier (dit Faux Acacia) mérite franchement plus d’amour : c’est l’un des rares bois européens dont la dureté flirte carrément avec celle des exotiques – densité supérieure à 0,8 et résistance naturelle aux attaques fongiques ET aux insectes ! Beaucoup trop ignoré en France malgré ses vertus écologiques et sa longévité folle en milieu humide.
Petit aparté : le Hêtre, apprécié pour sa teinte claire et son toucher doux, reste moins costaud face à l’humidité. À réserver pour des cuisines peu exposées ou si vous aimez changer de sol tous les dix ans (chacun ses lubies).
Liste des essences recommandées et leurs avantages principaux :
- Chêne : Densité élevée (~0,75), très résistant aux chocs, grande polyvalence esthétique.
- Frêne : Dureté équivalente au chêne voire supérieure, veinage lumineux moderne.
- Robinier (Faux Acacia) : Densité > 0,8, insensible aux taches/fongus/insectes — quasi indestructible.
- Hêtre : Plus doux au toucher mais sensible à l’humidité ; à éviter dans les cuisines familiales agitées.

Les bois exotiques : teck, bambou, wengé – le choix de l'exotisme et de la robustesse
On m’a souvent demandé si "l’or brun", alias le Teck, tenait vraiment sa promesse d’imperméabilité… Eh bien oui ! Grâce à ses huiles naturelles intégrées – impossible à obtenir sur nos feuillus locaux — il brave l’eau comme un canot breton affronte la tempête. Aucun souci côté insectes ni champignons non plus. Son esthétique riche (brun doré veiné) séduit autant que sa longévité extrême.
Le Bambou, quant à lui… On pourrait croire qu’il ne fait pas le poids face aux mastodontes européens ? Grave erreur ! Compacté industriellement (bambou densifié), il développe une dureté remarquable tout en restant très écologique par sa croissance ultrarapide. Son aspect graphique s’adapte autant aux cuisines zen qu’aux intérieurs branchés — on a vu plus ringard.
Résumé clé : Le teck brille par son imperméabilité hors pair et son aspect luxueux ; le bambou séduit par sa résistance écologique inédite et son design contemporain.
Parquet massif ou parquet contrecollé ? lequel privilégier pour la cuisine ?
Soyons directs : croire que seul le massif a droit de cité dans une cuisine relève du snobisme pur beurre. Le parquet massif est traditionnellement synonyme de noblesse absolue : entièrement composé d'une même essence noble (épaisseur généralement supérieure à 15 mm), il peut être poncé/rénové plusieurs fois — parfait si vous rêvez d’un plancher centenaire façon vieille abbaye cachée dans les monts d’Arrée... Mais il réagit fort mal aux variations hygrométriques sévères (dalles froides mal isolées = attention).
En face : le parquet contrecollé, trois couches dont une couche d’usure noble (>3.5mm recommandés en cuisine) collée sur deux strates stables. C’est LE choix malin quand on veut allier stabilité dimensionnelle supérieure ET coût contenu. Facile à poser (même sur sol chauffant!), moins sujet au tuilage... Moins prestigieux sur le papier mais diablement pratique au quotidien.
Évidemment — question conscience écolo oblige — privilégiez toujours des labels FSC/PEFC qui garantissent une gestion forestière responsable sans pillage exotique ni carnage environnemental !
Critère | Parquet Massif | Parquet Contrecollé |
---|---|---|
Composition | Bois noble 100% | Couche noble + supports |
Stabilité | Sensible humidité/température | Très stable |
Entretien/Rénovation | Peut être poncé maintes fois | Ponçages limités (>3.5mm OK) |
Coût | Plus élevé | Souvent plus abordable |
Pose | Longue & technique | Rapide (+ adapté planchers) |
Écologie | Labels nécessaires | Labels FSC/PEFC recommandés |
L'armure du parquet : finitions et protections pour une cuisine au top 💪
Quand il s’agit de faire front dans une cuisine animée, le choix de la finition du parquet est stratégique. C’est ni plus ni moins que l’armure qui garantira la survie — ou l’agonie — de votre plancher face aux agressions du quotidien. Et là, entre nous : le bricolage approximatif n’a pas sa place, pas plus qu’un ciré troué en pleine tempête sur Ouessant !
L'huilage : la finition naturelle qui respire et se répare facilement
L’huilage d’un parquet, c’est un peu comme appliquer un baume nourrissant sur des bottes de cuir tanné : on imprègne le bois d’huiles naturelles (souvent à base de lin, tung ou carthame) qui pénètrent jusqu’au cœur des fibres. Résultat ? Le bois reste vivant, ses pores respirent, et l’aspect garde toute sa noblesse mate et son toucher soyeux. Autre atout : en cas de rayure ou d’incident, inutile de sortir le gros arsenal : un ponçage local, un peu d’huile spécifique (de qualité, surtout pour les cuisines !) et hop, ni vu ni connu.
Contrairement à un vernis qui "fige" la surface, l’huile permet au bois d’évoluer en douceur avec les saisons — évitant ainsi bon nombre de déformations intempestives.
Résumé : La finition huilée offre un rendu ultra naturel, se répare sans tracas et garde la capacité du bois à respirer. Idéal pour ceux qui veulent allier beauté authentique et praticité dans leur cuisine !
Le vernissage/vitrification : l'option barrière protectrice, mais quel type choisir ?
Le vernissage ou vitrification agit comme un véritable bouclier contre les assauts culinaires. On applique sur le bois une résine (acrylique ou polyuréthane), créant une couche dure qui protège efficacement des taches, liquides, chocs et usure intensive. Les gammes sont variées : monocouche économique (bof!), bicouche haut de gamme pour cuisines actives, versions anti-taches ou anti-rayures… Soyons honnêtes : côté résistance à l’eau et facilité d’entretien, c’est imbattable.
Mais attention : la surface filmogène masque partiellement le grain du bois et donne parfois un aspect trop brillant ou « plastique », selon les goûts. Et si une rayure profonde pointe le bout de son nez… il faudra souvent envisager une rénovation complète de la surface (ponçage total avant nouveau vernis), ce qui n’enchante personne après une semaine déjà bien chargée !
Les parquets stratifiés hydrofuges : une alternative moderne pour une résistance accrue
Soyons francs : certains puristes grimacent à l’idée du stratifié… Pourtant les versions hydrofuges n’ont plus grand-chose à envier côté robustesse ! Constitués d’une âme HDF dense recouverte d’un décor imitation bois ultra-réaliste et d’une protection renforcée au niveau des joints/chanfreins, ces revêtements encaissent sans broncher projections d’eau, chocs répétés, mouvements frénétiques des chaises…
L’avantage évident ? Facilité d’entretien maximale (un coup d’éponge suffit), tarif accessible – et des imitations bluffantes aujourd’hui –, même si on perd le vrai contact "bois" sous les pieds. Attention cependant : impossible de rénover comme un parquet massif ; quand c’est usé… c’est remplacement direct.
- Résistant à l'eau grâce aux traitements hydrofuges spécifiques sur les joints/supports
- Facile d'entretien : nettoyage rapide sans produits agressifs
- Aspect imitation bois, bluffant mais toucher différent du vrai bois
- Moins cher que le parquet massif/contrecollé authentique
- Aucune possibilité réelle de ponçage/rénovation en cas de dégâts importants

La pose du parquet en cuisine : une étape cruciale pour la longévité 🛠️
On ne va pas se raconter d’histoires… la pose d’un parquet en cuisine, c’est tout sauf un bricolage du dimanche ! Si vous tenez à ce que votre sol tienne la route plus de deux saisons, il y a un choix à faire, et il ne souffre aucune improvisation : la pose collée s’impose comme la reine absolue des cuisines.
La pose collée : l’option qui fait bloc contre l’humidité
Tout comme ces vieilles bâtisses bretonnes qui défient les siècles grâce à leurs fondations massives, un parquet collé repose sur une logique d’ancrage solide et durable. Chaque lame est fixée directement au support par une colle spécialement formulée pour les pièces humides – on oublie la colle basique de grande surface ! Cette méthode crée un véritable rempart contre l’infiltration d’eau : pas de circulation sournoise d’humidité sous les lames, pas de gonflement traître ni de moisissures nichées dans les interstices.
La colle agit aussi comme un stabilisateur mécanique : le bois bouge moins, grince moins, reste bien à sa place même sous les assauts répétés du quotidien (on parle d’une cuisine, pas d’un salon de thé silencieux !). Et franchement, une fois protégé par une finition adaptée, cette configuration donne au parquet une résistance bien supérieure à tous les autres modes de pose.
- Résumé : La pose collée = étanchéité maximale, stabilité exemplaire, durabilité renforcée. C’est LA garantie pour traverser bravement toutes les tempêtes culinaires.
Pourquoi le parquet flottant est à éviter dans une cuisine ?
Franchement, entre nous… croire qu’un parquet flottant va tenir tête à l’humidité et aux aléas d’une cuisine relève de l’utopie ! Les lames clipsées reposent sur une sous-couche isolante mais restent indépendantes : laisse passer la moindre goutte ou infiltration par les joints et c’est fini, l’eau s’étale dessous, le bois gonfle, gondole… Un vrai cauchemar – sans parler de ce bruit « clic-clac » désagréable sous les pieds qui trahit tout manque de stabilité.
Les bonnes pratiques d’installation pour un parquet de cuisine
Soyons honnêtes – même le meilleur bois finit mal si on zappe les fondamentaux :
- Préparation du support : Il doit être parfaitement sec (taux <3% pour une dalle béton !), plat et propre. Aucun compromis là-dessus.
- Choix de la colle : Utilisez impérativement une colle spéciale pièces humides compatible avec votre essence (vérifiez bien auprès du fabricant).
- Pose des lames : Respectez scrupuleusement le schéma d’encollage – toute la surface doit être couverte pour éviter les poches d’air ou d’eau.
- Joints périphériques : Prévoyez assez large (8-10 mm) pour que le bois vive sans forcer sur les murs ; encore plus si c’est un sol chauffant (et là prudence – tous les parquets n’aiment pas ça).
- Finitions : Appliquez votre protection (huile ou vernis) selon toutes les règles ; aucun raccourci.
- Ventilation/VMC : Dès le début, assurez-vous que la pièce respire correctement. Une bonne VMC limite condensation et humidité stagnante qui peuvent tout ruiner.
- Installateur pro recommandé : Un artisan consciencieux connaît ces points sur le bout des doigts et garantit une intervention conforme aux normes (DTU 51.2 notamment).
Checklist essentielle : Support sec & stable • Colle adaptée pièces humides • Joints respectés • Pose méticuleuse • Ventilation optimale • Pro attentif si besoin !
Entretenir son parquet de cuisine : astuces de pro pour une beauté durable ✨
Le quotidien : nettoyage rapide des éclaboussures et des salissures
Soyons honnêtes, une cuisine, c’est un vrai terrain d’aventures ! La moindre inattention et voilà de l’eau qui gicle ou de la sauce qui dégouline… Là-dessus, pas de recette miracle : il faut agir vite. Une éclaboussure laissée à stagner s’incruste comme le varech sur une coque de bateau (et croyez-moi, c’est bien plus pénible à gratter après coup !). Gardez toujours à portée de main un chiffon doux – sec ou très légèrement humide – pour essuyer toute trace d’humidité ou de graisse dès qu’elle apparaît. Quelques secondes d’attention valent mille larmes devant un parquet taché ou gondolé.
Agir vite : Essuyer immédiatement toute éclaboussure avec un chiffon doux.
L'entretien régulier : nettoyage en douceur avec les produits adaptés (huile, savon)
Franchement, entre nous… l’entretien du parquet n’a rien d’un sacerdoce si on respecte deux règles : de la douceur, point trop d’eau, et des produits appropriés. Pour un parquet huilé ? Un savon naturel doux (spécial parquet huilé), dilué dans une eau tiède et appliqué avec une serpillière bien essorée. Jamais détrempée ! Pour un parquet verni ? Utilisez uniquement un nettoyant dédié aux surfaces vitrifiées. Oubliez les détergents agressifs, ammoniaqués ou la vapeur : ils flinguent la finition aussi sûrement qu’une tempête abîme les filets oubliés sur la grève. Allez savoir pourquoi… mais cette douceur d’entretien protège le bois durablement, tout en lui gardant son éclat vivant. Et n’oubliez pas : pour les parquets huilés, une fine couche d’huile nourrissante tous les 6 mois à un an selon usage redonne vigueur au bois.
- Savon doux spécial parquet huilé
- Nettoyant adapté pour parquet verni
- Serpillière bien essorée (jamais trempée)
- Éviter eau en excès & produits ménagers agressifs
- Pas de vapeur ni abrasif !
Les petits bobos : réparer rayures et taches pour un parquet toujours comme neuf
Un accident est si vite arrivé… Rayure de chaise ou tache rebelle ? Pas la peine de hurler à l’injustice bretonne ! Sur un parquet huilé, poncez localement avec délicatesse puis réappliquez l’huile d’origine : ni vu ni connu. Sur du verni, il existe des kits réparation – crayons retouche ou polissant liquide – pour masquer nombre d’imperfections superficielles. Si vraiment la tache s’obstine (vin rouge incrusté ou sauce tomate fossilisé), parfois seul un professionnel pourra rénover par ponçage partiel voire total.
Un avis tranché ? Un parquet qui a vécu et porte quelques stigmates raconte une histoire — celle de votre cuisine et de vos moments partagés. L’important reste la possibilité de les atténuer quand le cœur vous en dit.
L'importance de la ventilation (VMC) pour limiter l'humidité
On néglige trop souvent ce détail pourtant fondamental : ventiler efficacement sa cuisine, c’est assurer une régulation optimale de l’humidité ambiante. Une bonne VMC expulse vapeur et excès hygrométrique après cuisson ou vaisselle. Résultat ? Moins de risques que le bois ne gonfle ou ne moisisse sournoisement sous vos pieds ! RT 2012 et normes actuelles imposent aujourd’hui ce réflexe sain — utile pour votre sol comme pour votre santé.
Une bonne VMC est votre alliée pour préserver votre parquet de la cuisine.

Les pièges à éviter : 12 erreurs qui pourraient faire jeter l’éponge à votre parquet 🚫
Il y a des pièges dans la cuisine, et ça ne concerne pas que les filets à homards ! Le parquet, mal choisi ou mal bichonné, peut vite devenir un cauchemar breton. Voilà pourquoi il faut aborder ce sol avec autant de rigueur qu’un marin devant une tempête.
Erreurs dans le choix du bois et de la finition
- Choisir un bois tendre (pin, sapin, aulne), c’est comme envoyer un bateau en peuplier affronter l’océan : ça prend l’eau, ça marque à chaque choc et ça ne dure jamais longtemps.
- Opter pour une finition inappropriée (cire classique, huile non hydrofuge) revient à laisser son ciré à la maison par gros temps : le bois absorbe tout et finit grisâtre ou tacheté !
- Parquet contrecollé ? Si la couche d’usure est trop fine (<3 mm), oubliez toute idée de durabilité – vous vous retrouvez vite avec un sol en lambeaux après deux saisons intenses.
- Prendre « brut non traité » pour une cuisine, c’est juste suicidaire (aucune résistance aux taches ni à l’humidité).
Erreurs dans la méthode de pose
- Privilégier la pose flottante ? Mauvaise pioche : l’eau s’infiltre entre les lames et c’est le début des ennuis – gonflements garantis !
- Négliger la préparation du support : si ce n’est pas plat ET sec (humidité résiduelle >3%), chaque défaut se paiera cash plus tard.
- Utiliser une colle basique ou non adaptée aux pièces humides, c’est ouvrir grand la porte aux infiltrations sournoises.
- Oublier les joints de dilatation : le bois travaille, et sans espace prévu… il pousse contre les murs ou se soulève.
Erreurs dans l'entretien et la gestion de l'humidité
- Nettoyer au balai-brosse dégoulinant ou passer une serpillière trempée : là c’est noyer le poisson ET le parquet !
- Employer des produits ménagers agressifs (ammoniaque, solvants…), ou pire encore : nettoyer à la vapeur. C’est condamner votre sol à une lente agonie…
- Laisser traîner taches et éclaboussures : chaque minute compte avant que le liquide ne s’incruste dans les fibres.
- Oublier d’aérer/ventiler (VMC défaillante) : humidité stagnante = ennemie jurée du bois. On finit avec un sol gondolé aussi triste qu’un vieux bateau oublié sur la grève.
Retenez bien : même un parquet haut de gamme finit par rendre l’âme si vous commettez ces erreurs basiques. La vigilance n’est pas optionnelle en cuisine !
Parquet en cuisine : faire les bons choix pour un résultat durable
Soyons honnêtes : le parquet dans la cuisine n’est pas un caprice de décorateur mais une option sérieuse pour qui maîtrise ses fondamentaux. Le secret ? Choisir des essences qui tiennent la route (Chêne, Robinier, Teck…), préférer une finition protectrice huilée ou vernie vraiment conçue pour affronter eau et taches, et toujours privilégier une pose collée ultra-soignée. L’entretien régulier – nettoyage doux, gestes rapides face aux accidents – ainsi qu’une bonne ventilation sont les véritables garants de sa longévité. Finalement, s’offrir un sol en bois dans sa cuisine, c’est ajouter ce supplément d’âme — cette chaleur authentique qui rappelle la Bretagne — sans rien sacrifier à la robustesse. Franchement, oser le parquet, c’est ramener la nature et le caractère jusque sous vos casseroles !
Le parquet en cuisine : une réalité possible et désirable grâce au choix des matériaux, des finitions, de la pose et un entretien adapté.
👍 Le parquet peut sublimer votre cuisine s'il est bien choisi et entretenu !